La Gentle Factory, so fresh & so frenchy*
Quand Christèle Merter a imaginé la Gentle Factory, il s’agissait de concevoir des vêtements de manière écoresponsable et 100 % made in France. Aujourd’hui, cette ingénieure textile de formation, formée à l’Ensait, vise le 100 % made in Roubaix.
La marque a vu le jour en 2013, à Roubaix, du côté d’Happychic qui regroupe notamment les marques Brice et Jules. Christèle Merter, à l’origine du projet, souhaite penser le vêtement différemment. Feu vert de la part de sa direction.
La jeune femme ne ménage pas sa peine, et quand courant 2018, le groupe pour lequel elle travaille, souhaite recentrer ses activités sur fond de crise économique, c’est tout naturellement que cette dernière reprend les rênes de la Gentle Factory. Désormais présidente, elle vole de ses propres ailes avec son équipe – une dizaine de personnes – qui l’a suivie dans la tempête.
Début 2019, l’enseigne installe ses bureaux du côté de l’ancienne filature Cavrois-Mahieu. C’est là maintenant que les collections sont imaginées, toujours en adéquation avec les engagements de la marque, inscrite plus que jamais dans le made in France.
Les séries de vêtements masculins et féminins se déclinent autour d’un fil conducteur qui n’est pas sans rappeler la démarche Zéro Déchet de Roubaix. Après le thème « Lanceurs d’alerte » qui a porté la dernière saison, Christèle Merter et toutes ses petites mains travaillent déjà sur la prochaine, « Bio-diversité ».